La paroisse
La paroisse Ste Thérèse
La Chapelle sur Coise fait partie de la paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus qui regroupe 14 villages. Le père Guy Ollagnier en est le curé. Il réside à la cure de St Martin en Haut. Il est aidé dans son ministère par 2 pères auxiliaires : le Père Raymond Thollot et le Père André Seytre et trois diacres : Pierre Mirabito, Jérôme Gros et Bernard Sangouard ainsi que les Pères de la communauté de la Neylière.
Une messe par mois est célébrée dans l’église. Une équipe de laïcs attentive à la vie du village assure un service pastoral et fait le lien avec le prêtre et les autres acteurs de la pastorale.
6 personnes font partie de cette l’équipe liturgique et ont en charge la préparation des célébrations du dimanche afin de les rendre vivantes et participatives pour toute la communauté. Cette équipe est ouverte à toute proposition et serait heureuse de vous accueillir si vous le désirez. Des personnes peuvent vous aider pour l’accompagnement des funérailles ainsi que la préparation au baptême et au mariage. Vous pouvez consulter le site de la paroisse : www.paroisse-sainte-therese-69.fr
Pour plus de renseignements. Le bulletin Présence est distribué dans toutes les boîtes aux lettres 1 fois par trimestre. Il vous informe des actualités de la paroisse. Vous pouvez trouver la feuille paroissiale qui vous informe de l’ensemble des offices à l’église ou bien sur le site.
L’église de La Chapelle sur Coise
L’origine de la Paroisse semble assez ancienne.
Un document des Archives du Diocèse de Lyon atteste que La Chapelle en Vaudragon (nom de la commune jusqu’en 1843), fut confirmée au chapitre de Saint Just en 1170 par le Pape Alexandre III.
Un acte de 1292 mentionne l’existence de deux chapelles.
Au milieu du 19e siècle, l’église de La Chapelle était trop petite et il fallut en construire une autre.”
L’abbé Simon Beauvoir, curé de La Chapelle de 1832 à 1883 entreprit la construction de l’église actuelle dédiée à Saint Etienne. Une pierre de la façade porte la date de 1847.
En 1914 le clocher qui se trouvait sur le côté du chœur fut démoli car il était en très mauvais état. A cause de la Grande Guerre, il fallut attendre 1926 pour que soit construit le clocher actuel. Le curé était alors l’abbé François Ressicaud. Il comporte 3 cloches : La première cloche de l’ancienne église date de 1818. La 2e de 1883. La 3e cloche a été ajoutée en 1927 à l’occasion de la construction du clocher actuel.
Dans les années 60, l’abbé André Brébant, dernier prêtre résident, fit repeindre l’intérieur de l’église et aménager le chœur conformément à la réforme liturgique.
Jusque dans les années 90, avait lieu, chaque année, le 3 février, le pèlerinage de la Saint Blaise patron des agriculteurs.
La dernière restauration date de 1990-1991.
A cette occasion de nouveaux vitraux ont été installés dans la nef. Ils sont l’œuvre de Françoise GORMAND DUVAL.
On peut remarquer la progression dans le choix des couleurs, de plus en plus “chaudes” et lumineuses quand on s’avance vers le chœur.
Voici l’explication du symbolisme de ces vitraux :
* A droite en partant du fond :
1 – La Création du monde, du soleil, des végétaux …
2 – La création des êtres vivants, de l’homme …
3 – Une mère et son enfant : l’homme participe à l’œuvre créatrice de Dieu.
4 – Par l’eau du Baptême, l’homme devient enfant de Dieu. ..
* A gauche en partant du fond :
1 – Adam et Eve ont reçu la mission divine du travail.
2 – Métiers exercés à La Chapelle : les travaux des champs.
3 – Les fruits du travail : le blé et le raisin.
4 – L’Eucharistie : le pain et le vin deviennent le Pain de la Vie et le
Vin du Royaume Eternel.
Les 3 vitraux du chœur datent du 19ème siècle. Ils sont signés MAUVERNAY à Saint Galmier
A gauche et à droite : les quatre Evangélistes avec leurs attributs symboliques :
Marc : le lion ; Matthieu : le jeune homme ; Luc : le bœuf ; Jean : l’aigle.
Au milieu : Le Sacré Cœur et Saint Etienne patron de l’église.
Au fond de l’église, on peut voir l’ancien mouvement de l’horloge du clocher et une vitrine qui présente des objets du culte et des reliquaires.